« Ce qui se passe chaque jour et qui revient chaque jour, le banal, le quotidien, l’évident, le commun, l’ordinaire, le bruit de fond, l’habituel, comment en rendre compte, comment l’interroger, comment le décrire ? […] » in L’infra-ordinaire (Georges Pérec).
Là, devant moi. Ici. Changeants. Ordinaires. Réels. Les murs, les chaises, le chevalet, les toiles qui sèchent.
Depuis 2022, je peins de façon répétitive et obsessionnelle les éléments et l’architecture de l’atelier. Une certaine perception de l’espace et des éléments qui le constituent.








